Chaque jour, des millions d’e-mails frauduleux circulent : publicités intempestives, tentatives d’escroquerie ou attaques de phishing visant à voler vos données personnelles. Savoir les reconnaître est essentiel pour protéger vos informations et éviter les mauvaises surprises.

• Adresse suspecte : un mail censé venir de votre banque mais envoyé depuis une adresse gmail.com ou outlook.fr est un signe d’arnaque.

• Nom trompeur : l’expéditeur peut s’appeler “Service Client Banque” mais l’adresse réelle est bizarre (ex. service-client@banque-secure123.xyz).

👉 Astuce : survolez l’adresse de l’expéditeur pour voir la vraie adresse.

• Urgence ou menace : “Votre compte sera suspendu dans 24h”, “Dernier rappel avant poursuites” → les fraudeurs jouent sur la peur.

• Promesse trop belle : “Vous avez gagné un iPhone !” → si c’est trop beau pour être vrai, c’est sûrement faux.

• Fautes d’orthographe : un mail officiel contient rarement des erreurs grossières.

ur, conformément aux obligations de transparence imposées par NIS2.

• Liens piégés : en survolant le lien, vous verrez une adresse différente de celle affichée (ex. texte : www.paypal.com → vrai lien : http://pirate-paypal.ru).

• Pièces jointes douteuses : fichiers .zip, .exe ou même .pdf pouvant contenir des virus.

👉 Règle d’or : ne cliquez pas, n’ouvrez pas si vous avez un doute.

vironnement numérique plus fiable.

Un vrai organisme (banque, assurance, impôts…) connaît vos informations.

• Un mail officiel mentionnera votre nom, prénom ou numéro de dossier.

• Un mail frauduleux commencera souvent par : “Cher client” ou “Bonjour utilisateur”.

• Pas de protocole sécurisé : le site vers lequel le mail renvoie n’a pas le cadenas 🔒 (HTTPS).

• Nom de domaine étrange : amazon-verif-login.com n’a rien à voir avec le vrai amazon.fr.

• Ne cliquez jamais sur les liens ni sur les pièces jointes.

• Contactez directement l’organisme (banque, impôts, fournisseur) via son site officiel.

• Signalez le mail : en France sur signal-spam.fr, en Belgique via safeonweb.be.

• Supprimez le message si vous n’êtes pas sûr.

Un bon réflexe à adopter : méfiance systématique. Un e-mail officiel ne vous demandera jamais vos mots de passe ni vos coordonnées bancaires par simple message. En cas de doute, prenez le temps de vérifier.